DOSSIER N°86

Phénomène ovni

 

PHENOMENE OVNI

ET

SYSTEME D'APPRENTISSAGE

 

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Ci-dessus : « Phase 1 »

http://sciencedufantastique.files.wordpress.com/2012/03/2001-l-odyssee-de-l-espace-196-37-g.jpg

Ci-dessus : « Phase 2 »

http://momentumbooks.com.au/wp-content/uploads/2013/07/hotel-monolith.jpg

Ci-dessus : « Phase 3 »

 

Ci-dessus : trois scènes du film, « 2001, l’Odyssée de l’Espace » du réalisateur Stanley Kubrick (sorti en 1968). Ces trois scènes illustrent parfaitement notre hypothèse du « système d’apprentissage » dont bénéficierait l’Humanité. Nous voyons, en effet, trois grands stades successifs (ou trois phases) de l’évolution de l’Humanité directement impulsés, générés, et contrôlés par le mystérieux monolithe noir.

 

Dans la « Phase 1 » des pré-humains (nous n’avons pas trouvé de néologisme plus adapté pour nommer ces créatures préhistoriques) viennent de découvrir la présence du monolithe noir. La scène est sensée se dérouler sur le continent africain quatre millions d’années avant Jésus-Christ. Rappelons que les ancêtres des hommes seraient apparus sur le continent africain il y a environ six millions d’années. Les archéologues ont trouvé des traces de leur existence en Ethiopie. Ces créatures primitives de la préhistoire sont d’abord effrayées par la présence étrange et inquiétante du monolithe. Peu à peu, cependant, elles vont s’approcher de lui et finiront même par le toucher en adoptant des attitudes d’adoration et de prosternation. Par un mécanisme mystérieux (une mutation induite au niveau du code génétique peut-être ?), le monolithe va modifier en profondeur le psychisme des pré-humains pour qu’ils s’orientent vers une nouvelle voie évolutive.

 

La « phase 2 » de l’apprentissage suppose que l’Humanité est parvenue à s’installer définitivement sur la Lune. Elle possède sur notre satellite naturel de vastes bases permanentes qui peuvent accueillir des scientifiques de tous les pays. C’est précisément lors de cette période de conquête spatiale du système solaire par l’Humanité qu’un nouveau monolithe noir (ou peut-être le même que celui de la « phase 1 ») est détecté dans le sous-sol lunaire dans le cratère Tycho. La scène montre six astronautes qui s’approchent du monolithe. Au moment de prendre une photo de groupe, un son strident et assourdissant est émis par le monolithe. Ce son est un signal qui est dirigé vers la planète Jupiter.

 

La « phase 3 » montre un vieillard agonisant dans son lit avec le monolithe noir en face de lui. Cet homme est l’unique rescapé de la mission qui avait été envoyée vers Jupiter. Dans les scènes finales du film nous comprenons que cet homme va renaître. Nous le voyons tout à la fin du film sous la forme d’un fœtus qui se dirige vers la Terre. Cet être nouveau, ayant peut-être vécu une transmutation, est le représentant d’une nouvelle Humanité. Nous soupçonnons que l’écart évolutif entre lui et l’Humanité ordinaire est peut-être le même qu’entre nous et les pré-humains. L’écart évolutif entre la « phase 2 » et la « phase 3 » serait alors le même qu’entre la « phase » 1 et la « phase 2 ». En trois scènes, nous avons tout le destin évolutif de l’Humanité.

 

Dans l’hypothèse que nous défendons dans notre article, il suffit de remplacer le monolithe noir par le phénomène ovni ou par ce que nous préférons appeler le « facteur exogène ». Comme dans le film « 2001 », nous pensons que l’Humanité est sous contrôle et que l’ensemble des phases évolutives (dont nous ignorons d’ailleurs le nombre exact mais qui sont sûrement supérieures à trois) sont en quelque sorte « encadrées » par un « système d’apprentissage ».

 

 

Le « facteur exogène » serait responsable de la mise en place d’un système d’apprentissage renforcé de type Skinner. Ce système d’apprentissage opérerait à deux niveaux : au niveau individuel lors d’observations ponctuelles localisées dans l’espace et le temps, et au niveau collectif lors des « vagues » d’ovnis. Le premier objectif visé par le système d’apprentissage renforcé serait de favoriser la prise de conscience par l’Humanité qu’il existe de nombreuses autres dimensions dans l’Univers et qu’entre la conscience humaine et le « facteur exogène » se produisent d’incessantes interférences. Le but final serait de préparer l’Humanité à une expérience exceptionnelle (quelque chose de grandiose mais d’encore incompréhensible pour nous) qui pourrait être à la fois une « rencontre » avec un réseau supérieur de civilisations et un « passage » vers une autre forme d’existence. Cet objectif final est montré, en partie seulement, dans le film « Rencontres du troisième type » (document ci-dessus) réalisé par Steven Spielberg (sorti en France en 1978). Nous disons, en partie seulement, car les intentions du « facteur exogène » sont peut-être plus ambitieuses (et surtout plus surprenantes aussi) que celles qui sont montrées dans les scènes finales du film. Dans ces scènes, en effet, nous assistons à l’embarquement à bord d’un vaisseau spatial d’un équipage d’humains sélectionné par les extraterrestres. Puis, l’immense vaisseau monte dans le ciel vers une destination inconnue, suggérant ainsi que les extraterrestres rentrent chez eux et que la « mission » des ovnis sur terre est désormais terminée. En ce qui nous concerne, nous pensons que l’objectif final du « facteur exogène » va beaucoup plus loin que ce qui est montré dans le film « Rencontres du troisième type » et qu’il ne concerne pas seulement quelques individus sélectionnés, mais l’ensemble de l’espèce humaine.

 

 

 

Ci-dessus : le « facteur exogène » représenté sous la forme d’un vaisseau spatial extraterrestre a influencé plusieurs fois le cours de l’évolution de l’Humanité. L’intervention du « facteur exogène » s’est produite il y a au moins quatre millions d’années et a déclenché une nouvelle étape évolutive de l’espèce humaine. Ensuite, entre les pré-humains et les hommes contemporains (l’Homo sapiens moderne serait apparu entre -200 000 ans et -100 000 ans) le « facteur exogène » est sans doute intervenu encore de nombreuses fois pour rectifier, améliorer, et orienter l’évolution dans la direction voulue. Pour facilité la compréhension du processus, nous avons représenté un vaisseau spatial, mais ce n’est qu’une image simpliste. La nature de la réalité du « facteur exogène » reste pour le moment difficile à cerner. Tout ce que nous pouvons dire de notre point de vue c’est qu’il comporte un aspect matériel et physique et une dimension immatérielle, psychique et spirituelle. La galaxie en haut à gauche signifie que le « facteur exogène » se situe au niveau d’une civilisation galactique de Type III. Son aire d’influence est la totalité de la Voie Lactée.

 

Liens vers les huit pages de l’article publié dans TOP SECRET n°72 (avril/mai, 2014). Dans cet article, j'expose les arguments en faveur de l’hypothèse du « système d’apprentissage » :

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 1 pdf.

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 2 pdf.

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 3 pdf.

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 4 pdf.

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 5 pdf.

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 6 pdf.

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 7 pdf.

Apprentissage, ovnis 1990, « phase x » : page 8 pdf.

 

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Lien vers l’article modifié au format PDF : Ovnis 1990, « phase X »

 

 

© Daniel Robin mai 2014.

 

 

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